mariejo dilly

Peintre, plasticienne, art thérapeute

Les Granges le Roi (91) - FRANCE


 

Nom du projet :

L'Envol

ou Espoir de Renaissance

 

Localisation : 

Jardins de l'Abbaye

 

 

Résidence :

Coved

 

Site internet :

mijomd.jimdo.com/



Partenaires associés :

Intervention auprès de la classe de CE2-CM1 de l'école primaire de Beaulieu-lès-Loches


En quelques mots...

 

 

MarieJo est une artiste peintre, plasticienne qui travaille de nombreuses techniques artistiques : gravure, mosaïque, vitrail. Elle expérimente également la réalisation de sculptures monumentales et le travail du métal.

 

Elle a également conçu des décors et costumes pour le spectacle vivant, le cinéma, la télévision et l’événementiel. Depuis 2009, elle est diplômée en art thérapie et réalise des ateliers d’expression artistique auprès d’enfants autistes et d’adolescents psychiatrisés.

Démarche artistique...

 

Le travail artistique de Mariejo l’amène à expérimenter l’emploi de matériaux très variés pour des constructions en volumes, parfois éphémères : grillage, papier mâché, tissus patinés, polystyrène, bois sculpté, feuillages secs, fleurs sauvages…

Elle emploie également la technique de la soudure à l’arc et travaille avec des métaux de récupération et l’acier.

 

Ces sculptures monumentales s’inscrivent dans le mouvance du Land’Art et notamment dans le cadre de résidences d’artistes et de sentiers d’art.

le projet...

 

 

Léonard de Vinci, souvent décrit comme l’archétype et le symbole de l’homme de la Renaissance, avait rêvé que l’homme pourrait voler ; ses croquis l’ont amené à imaginer des machines qui pourraient porter les hommes au-dessus du sol que leurs conditions d’humain d’alors leur imposaient.

A présent, alors que l’humain, des siècles plus tard, a pu scientifiquement inventer des machines aux multiples performances, la machine à voler de Léonard de Vinci appelée en ce temps « l’Ornithoptère », semble encore nous faire rêver. Elle décrit l’impossible rêve qui, empreint de tant de poésie, semble encore capable de nous emporter dans ces espaces vierges de toute salissures, évoquant à l’infini la pureté et l’espoir.

 

"La sculpture que j’envisage aura l’allure de l’homme qui pousse son rêve à le réaliser dans une expérimentation maline mais périlleuse, rendant son corps d’humain, un état transitoire, tel une chrysalide prête à éclore et à devenir autre."


Visite à la Coved

Mariejo Dilly en résidence, le 30 avril

Visite des élèves de l'école primaire de Beaulieu